galerie du hoh, presse
Natasha, à gauche, est une artiste voyageuse qui travaille notamment avec du plexiglas. (Photo DNA)
Le week-end dernier, Nathacha a exposé ses toiles et ses sculptures en plexiglas à la galerie du Hoh, au-dessus de la bibliothèque. Elle utilise l'art pour exprimer son rejet d'une certaine modernité
Que ce soit dans ses oeuvres ou dans son engagement en tant qu'artiste, Nathacha a de nombreuses revendications. Dès l'entrée dans la galerie, on aperçoit, peint sur des écrans d'ordinateur, la mention « Attention virus ».
Griffe révolutionnaire
« L'écran plasma de la télévision ou celui de l'ordinateur nous ont complètement absorbé, ils nous coupent trop souvent de l'extérieur et des autres », s'indigne l'artiste.
On retrouve aussi sur certains tableaux la griffe révolutionnaire de cette maman qui aspire à des jours meilleurs pour ses trois enfants. « J'ai ajouté sur un tableau un téléphone portable peint en une couleur métallisée pour symboliser le temps que le téléphone nous vole », explique Nathacha.
Même si elle peint depuis plus de 30 ans, rien n'a entaché sa passion, qui l'a emmenée dans les quatre coins du monde. Et cela n'est pas près de s'arrêter pour cette artiste voyageuse qui, après cette expo, en réalisera une autre à Londres et à Paris.
Mais il y a un pays où Nathacha aimerait beaucoup présenter son travail. « La Chine est le pays où je voudrais me rendre. Les peintres français y sont très appréciés et leur culture en matière de peinture est très intéressante », avoue cette artiste alsacienne toujours en quête de nouvelles contrées.
voici l'article de journal des dernières nouvells d'alsace, du mois d'octobre à propos de mon exposition personnelle au hohwald, j'ai modifié mon nom qui était érroné...
merci à lui, nat